Où ta bouche de miel portée par les ailes bleues et farouches éteint le poids harassant de la fièvre à mes lèvres...
À tes serres farouches tu prends les cendres volatiles et d'ambre qui dans l'herbe couchent les soupirs fauves...
Le jour a mis sa bouche où coule le froid de ton souffle tout près lisse et légère et douce le jour a mis sa bouche...
Assez longtemps, retenir l'illusion, légère, au creux de tes joues aériennes, que tes yeux jamais ne disparaîtront,...